Rencontre avec Doan Cam Thi autour de la traduction de "Le violon de l'ennemi"

Nous sommes ravis d'accueillir Doan Cam Thi à la librairie pour une discussion autour de la traduction de l'ouvrage Le violon de l'ennemi de Bao Ninh publié récemment aux éditions Decrescenzo.
A propos du livre
Textes choisis, présentés et traduits du vietnamien par Doan Cam Thi
Le 30 avril 2025 marque le 50e anniversaire de la fin de la guerre du Vietnam, rappelant que le pays dût affronter, en trente-cinq années, trois conflits successifs contre le Japon, la France et les États-Unis, sans compter la guerre fratricide qui opposa le Nord et le Sud pendant vingt et un ans ; des affrontements majeurs qui ont laissé des cicatrices profondes, tant sur le territoire que dans les consciences.
Si les combattants s’illustrèrent, les femmes ne furent pas en reste. Dans ces cinq histoires d’une qualité littéraire exceptionnelle, Bao Ninh brosse des portraits de figures féminines originales, amoureuses et libres, aux antipodes des épouses soumises. Le violon de l’ennemi révèle leurs destins souvent tragiques, et renforce la dimension ambiguë, romantique et cruelle, du discours de l’auteur sur la guerre du Vietnam.
Doan Cam Thi, professeure des universités à l'Inalco, elle a publié Un moi sans masque. L’Autobiographie au Vietnam, 1887-1945 (Riveneuve, 2019) ; Đọc "tôi" bên bến lạ [L'usage du "je" dans la littérature vietnamienne contemporaine] (Hội nhà văn & Nhã Nam, 2016) ; Écrire le Vietnam contemporain. Guerre, corps, littérature (Presses de l’Université Paris-Sorbonne, 2010); Poétique de la mobilité - Les lieux dans Histoire de ma vie de George Sand (Rodopi, 2000). Elle a traduit de nombreuses œuvres littéraires vietnamiennes en français dont L’Embarcadère des femmes sans mari de Duong Huong (L'Aube, 2002) ; Au rez-de chaussée du paradis, une anthologie (Philippe Picquier 2006) ; Chinatown de Thuân (Seuil, 2009 ; Cheval d’acier de Phan Hon Nhien (Riveneuve, 2015) ; Le Violon de l’ennemi de Bao Ninh (Decrescenzo, 2024)
A propos du livre
Textes choisis, présentés et traduits du vietnamien par Doan Cam Thi
Le 30 avril 2025 marque le 50e anniversaire de la fin de la guerre du Vietnam, rappelant que le pays dût affronter, en trente-cinq années, trois conflits successifs contre le Japon, la France et les États-Unis, sans compter la guerre fratricide qui opposa le Nord et le Sud pendant vingt et un ans ; des affrontements majeurs qui ont laissé des cicatrices profondes, tant sur le territoire que dans les consciences.
Si les combattants s’illustrèrent, les femmes ne furent pas en reste. Dans ces cinq histoires d’une qualité littéraire exceptionnelle, Bao Ninh brosse des portraits de figures féminines originales, amoureuses et libres, aux antipodes des épouses soumises. Le violon de l’ennemi révèle leurs destins souvent tragiques, et renforce la dimension ambiguë, romantique et cruelle, du discours de l’auteur sur la guerre du Vietnam.
Doan Cam Thi, professeure des universités à l'Inalco, elle a publié Un moi sans masque. L’Autobiographie au Vietnam, 1887-1945 (Riveneuve, 2019) ; Đọc "tôi" bên bến lạ [L'usage du "je" dans la littérature vietnamienne contemporaine] (Hội nhà văn & Nhã Nam, 2016) ; Écrire le Vietnam contemporain. Guerre, corps, littérature (Presses de l’Université Paris-Sorbonne, 2010); Poétique de la mobilité - Les lieux dans Histoire de ma vie de George Sand (Rodopi, 2000). Elle a traduit de nombreuses œuvres littéraires vietnamiennes en français dont L’Embarcadère des femmes sans mari de Duong Huong (L'Aube, 2002) ; Au rez-de chaussée du paradis, une anthologie (Philippe Picquier 2006) ; Chinatown de Thuân (Seuil, 2009 ; Cheval d’acier de Phan Hon Nhien (Riveneuve, 2015) ; Le Violon de l’ennemi de Bao Ninh (Decrescenzo, 2024)